On vit plus intensément, on vit au rythme du monde entier.Au terme de cette brève revue du monde Fang à travers l'univers culturel des danses africaines dont ils en ont fait une société à usage, utilisatrice et autonome pour l'emploi des danseurs, danseuses comme acteurs et actrices. Il n'est point de retard en ce moment de faire de la lumière sur cette obscurité opaque, cependant, cela est utile de résumer l'impression d'ensemble qui s'en dégage. Des causes historiques, migration et conquête, coopèrent avec des causes psychologiques, individualisme et jalousies, pour expliquer l'émiettement géographique de la population dans cette oeuvre qui a fait son temps. La face cachée de ces sociétés à travers multiples pratiques nous ressort que cette machine fonctionnait par le fait des multiples usages de toutes sortes d'artifices voilées. Tout ne reposait ni sur la force et la volonté humaine, encore moins la destinée. L'homme était aux commandes des oeuvres et sous divers aspects de transformation pour arriver à ses multiples fins.